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| Sujet: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:30 | |
| Christian Walden « J´ai vu la guerre... J´ai vu le sang sur ma peau. » | |
I. introduction « Christian, pourquoi partir à la guerre alors que ton rang et ton métier te donnent la possibilité de rester là et d'aider ceux qui combattent sur le front ? Tu n'es pas raisonnable ! » Elle ne semblait pas saisir. Saisir que la haute bourgeoisie était certes un luxe, mais un luxe empoisonné. Lui, Christian, il lui en voulait de ne pas comprendre cette fierté qui coulait dans ses veines, cette fierté qui l'incitait à partir sur le front, à rejoindre son frère dans cette guerre sanglante. Il ne pouvait pas rester là, immobile, à écouter la radio avec la peur au ventre, sous prétexte qu'il était utile à l'arrière. Il ne pouvait pas continuer s'enrichir avec son père sur le dos de tous ces soldats perdus d'avance, sacrifiés par l'égoïsme des uns et le manque de dévotion des autres. Pourtant, il aimait Gladys. Sa jolie petite Anglaise, trop belle et rebelle pour son temps. « Tu ne comprends pas Gladys. Ma place n'est pas ici, elle est avec sur le front avec tous ces autres hommes qui se battent pour des valeurs qui sont aussi les miennes. Je pourrais mourir pour les défendre. » Il ne lui demandait pas de comprendre, juste d'accepter cette idée, aussi horrible puisse-t-elle être. II. Christian Cet homme a beau être revenu de la guerre il y a déjà six ans, il reste encore très marqué par ces quelques années sur le front, dans le froid et dans l'insécurité. Si cela arrive de moins en moins souvent avec le temps, la torture de ces longs instants, la vision de ces corps ensanglantés et abandonnés, tout, tout lui revient parfois à l'esprit et dans ces moments-là, Christian est plongé dans un mutisme dont seule Gladys peut le sortir, et encore. Néanmoins, il ne faut pas le voir comme un homme avant tout torturé. Si beaucoup de femmes le trouvent mystérieux, il est pourtant un homme très sociable qui ne manque pas de charme et surtout, dont il sait user à la perfection. La lutte sociale pour l'émancipation des femmes est quelque chose à laquelle il est favorable, et c'est quelque chose qu'un bon nombre d'elles aime beaucoup. Il est aussi doué pour s'amuser d'un bon vivant, par nature. Et aussi très travailleur, ambitieux. Matinal, il n'est jamais en retard à son travail ou même à ses rendez-vous. Et pour survivre à ses longues journées, Christian est un adepte du café, fort, serré. De toute façon, il aime tout ce qui est fort et prononcé. Et il aime fumer aussi, particulièrement en soirée dans les bars ou cabarets de la ville. | |
derrière l'écran PSEUDO ET PRÉNOM : Eléa, Eugénie. ÂGE : Vingt-deux ans. DÉCOUVERTE DU FORUM ET AVIS SUR CELUI-CI : Par une amie rpgiste ; je le trouve juste magnifique, que ce soit le design, le CSS, le contexte. PRÉSENCE : Plutôt régulière, je dirais 5/7. CONNAISSANCE ET AVIS SUR LES 1920's : Quelques connaissances ; le contexte après-guerre m'attire et m'inspire beaucoup à vrai dire. TA CHANSON FAVORITE : C'est tellement difficile de choisir... Disons One, de U2. AVATAR : Henry Cavill. CODE DU RÈGLEMENT : OK par Eve. PERSONNAGE INVENTÉ, SCÉNARIO : Inventé. UN DERNIER MOT : Je viens de remarquer que vos smileys sont classés en un beau dégradé de couleurs, chapeau ba !
Dernière édition par Christian Walden le Jeu 22 Aoû - 20:46, édité 8 fois |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:31 | |
| La famille Walden, entre rigueur et douceur. Christian est en apparence une copie de son paternel, Joseph Walden. D'une carrure imposante, au regard expressif susceptible de faire fondre n'importe quelle Anglaise. Ces cheveux noirs qui ont cette tendance à toujours boucler, ce nez irrégulier mais droit qui surplombe des lèvres finement dessinées. Ce vieux Joseph n'a jamais eu l'occasion de douter du lien qui l'unissait à cet enfant qui, plus il grandissait, plus il adoptait chacun des traits de son père. Et il en était fier. Christian était sans aucun doute celui qui lui ressemblait le plus, reniant presque les particularités de sa chère mère pour le plus grand plaisir de Joseph. Mais on n'explique pas la fierté d'un père. Chef d'usine d'une grande entreprise automobile, Joseph a toujours eu le mérite de savoir se faire respecter. Sa prestance, son autorité, tout était naturel chez lui. Et que ce soit son premier fils Thomas, Christian ou bien la plus jeune Juliet, tous savaient comment se comporter avec leur père. Aucune demie mesure n'était acceptée ; les règles, c'était les règles. Quand la mère de Christian, Lauren, avait du mal à imposer sa voix auprès des enfants, Joseph lui n'avait aucun mal à user de la sévérité. Non, il y mettait même un point d'honneur. Ses enfants devaient être élevés dans la plus grande droiture possible. Devant Dieu, ils seraient baptisés et auraient la foi. Devant leur père, ils n'auraient qu'à obéir. Heureusement, ces trois jeunes enfants avaient le droit de s'exprimer. A table par exemple, après que la mère ait servi dans l'ordre Juliet, Christian, Thomas, Joseph, elle et suite à la prière, tous se plaisaient à discuter, de diverses choses qui pouvaient emballer les uns ou les autres. Depuis sa plus jeune enfance, Christian a toujours eu le droit d'avoir son opinion sur l'actualité, d'avoir son mot à dire aussi. Tant que tout était dit dans le plus grand respect des autres, les mots étaient autorisés et même très appréciés. Les Walden étaient ainsi une famille somme toute comme beaucoup d'autres. La sagesse et le respect étaient des mots d'ordre tout comme l'étaient le partage et l'amour. Car s'il y avait bien une chose dont personne ne pouvait douter, c'est que ces enfants étaient aimés. Les moyens ne manquaient certainement pas dans ce foyer appartenant à la haute bourgeoisie de Londres. Gladys Bradburry, la rose rouge. C'est à la veille de la guerre que Christian croise la route de cette jeune femme aux allures douces et sauvages à la fois. Gladys Bradburry. Combien de fois se fait-il surprendre alors qu'il observe minutieusement son visage, comme s'il avait quelque chose de parfaitement divin. Elle incarne la femme comme il l'aime ; élégante, féminine, respectable, loyale, intelligente et surtout, indépendante. Lui ne veut pas d'une femme à tout faire. Tout ce qui l'intéresse, c'était d'avoir une compagne, au sens propre du terme. Une femme avec qui il peut partager monts et merveilles, mais aussi ses peines, ses torts. Christian a une vision de la femme moderne, contrairement à tous ces hommes machos qui voient en la gente féminine un moyen de se débarrasser des sales besognes ménagères. Et pourtant, sa mère est tout sauf une femme moderne, dans le sens où sa priorité est satisfaire les exigences de son époux. Tout doit être fait pour le contenter lui, qu'il rentre le soir du travail et mette les pieds sous la table. Mais non, Christian ne veut pas de ça, il rêve d'une femme de caractère. Leur rencontre remonte au mois d'avril 1914. C'était au Regent Park un soir de printemps, assez frais comme tous ceux qui lui avait précédé. Les robes légères étaient de mise pour les dames, et Christian se souvenait parfaitement de la tenue de Gladys ce soir-là. Sous son veste d'un vert émeraude, une jolie robe bleu ciel composée de multiples volants la faisait resplendir de beauté. Il était sorti jusqu'à ce bar dansant en compagnie de son frère ; elle était venue avec une amie à elle. Cet endroit avait beau être bondé de monde, lui ne voyait qu'elle et ses yeux pétillants. Il n'avait que vingt-deux ans et elle plus jeune de quatre ans. Mais l'âge était si peu important quand l'amour lui transperçait le coeur de ces deux êtres, fougueux et vifs. Christian savait très bien séduire les femmes et sans doute son grand frère Thomas n'y était pas pour rien, au vu de leurs nombreuses soirées passées ensemble. Et Gladys, comme beaucoup d'autres, était tombée dans ses filets. Sauf qu'elle était différente des autres, tellement différentes. Premièrement, elle n'appartenait pas à ce haut rang social qu'était la bourgeoisie, et si pour certains ce critère pouvait paraitre suspicieux, Christian lui se délectait d'avoir séduit une fille dynamique et intelligente, dépourvue de la moindre richesse luxueuse. Finalement, cette soirée s'était terminée à quatre. Non que dis-je, à deux. Christian avait réussi à s'éclipser avec sa belle Gladys une fois la nuit déjà bien tombée. Puis les semaines passèrent à une vitesse folle, tant ils ne voyaient pas le temps défiler. Christian obtint un diplôme de journalisme après quelques années passées à étudier sérieusement. La guerre commençait à gronder déjà en Europe, les pays formèrent leurs alliances, petit à petit. Thomas, le grand frère de Christian, s'enrôla de suite pour la guerre, face à un Christian sans doute dubitatif mais aussi retenu par sa jeune fiancée. Ils se marièrent dans la plus grande simplicité le 1er juillet 1914, et la guerre fut déclarée officiellement le mois d'après. La terreur noya la population dans une peur atroce. Le doute prit place dans le coeur des Anglais. Qu'allait être le devenir de tous ces hommes partis au combat ? Christian, malgré l'incompréhension de Gladys, finit par décider de partir lui aussi, rejoindre non pas son unique frère mais tous ses frères enrôlés pour l'honneur de leur patrie dans cette guerre contre le nazisme. C'est une jeune femme terriblement chagrinée et perdue qu'il laissa à Londres, en lui promettant de revenir vers elle, fier de ce qu'il aurait fait. Ce qu'il ne saurait pas avant son retour, c'était qu'il avait mis Gladys enceinte la veille de son départ. Une petite fille en naquit neuf mois plus tard, Liz. Tsiporah, le parfum de l'espérance. La guerre fait rage. Les troupes anglaises débarquent en France et s'éparpillent dans tout le pays pour écraser la vague nazie déferlante. Les belligérants s'entassent dans les tranchées quand ils ne sont pas en position d'attaque. Christian connait la première ligne comme la deuxième. Il est soumis à un danger incessant face à ces Allemands prêts à tout pour tuer l'adversaire et nombreux sont les coups, les blessures. Mais il n'y a pas que ça à surmonter. Les conditions de vie sont quant à elles complètement déplorables. Le froid, l'absence d'hygiène, les rats et la pluie sont tous autant des ennemis pour les poilus dans cette guerre atroce qui n'en finit plus. Mais outre tout cela, ce qui marque le plus Christian est sans aucun doute la mort et la peur de celle-ci. Il voit ses camarades mourir, presque abandonnés sur leur ligne, tandis que d'autres mitraillent l'ennemi en oubliant totalement qu'ils restent des êtres humains enrôlés pour une cause qui n'est peut-être même pas la leur. Christian était perdu, comme tous les autres, mais il avait des choses auxquelles se raccrocher. En 1915, un tir allemand vise Christian et par chance, on accepte de l'envoyer au camp de réfugiés le plus proche. Le corps médical s'occupe de lui, retire cette balle dont son épaule fut victime. Et quand vient le moment de le panser, on lui envoie une jeune infirmière. Ce visage si doux, ce regard si rassurant et ce sourire si réservé. Tout en elle apaise le jeune soldat quand il pose son regard clair sur elle pour la première fois. Vêtue d'une robe blanche tâchée de sang, la jeune femme finit par se présenter, indiquant qu'elle est française. Française et grandement courageuse pour affronter tous ces soldats ensanglantés. C'est ce que Christian se dit intérieurement en l'écoutant parler de ses origines. La monstruosité de la guerre lui a presque fait oublier combien le doux parfum d'une femme peut être bienfaiteur. Il n'est pas sûr qu'un quelconque parfum soit porté par la jeune femme et pourtant, elle fait la différence. Pendant des heures et des heures, ils discutent, apprenant ainsi à se connaître sans jamais évoquer la guerre, ou presque. Elle est sa bouffée d'oxygène, celle qui lui permet de refaire surface après de longs mois obscurs où seuls les doux rayons du soleil pouvaient encore lui faire du bien. Tsiporah. Jolie créature dont il se souviendra toujours, pour s'être occupée de lui sans jamais quitter son sourire. Jamais il n'a autant aimé parler le français, cette langue que son paternel voulait qu'il maîtrise à la perfection. Jamais il n'a autant apprécier la compagnie d'une femme. Et quelle femme... Départ pour l'Amérique, vie à New-York. A son retour de la guerre, Christian retrouve Gladys. L'homme qu'elle retrouve n'est plus le même, la vie dans les tranchées l'a complètement changé. De nombreux rêves destructeurs viennent s'immiscer dans leur vie de couple. Il fait aussi la rencontre de Liz, sa fille de déjà trois ans. Brune, aux cheveux bouclés. Des yeux aussi clairs et aussi pétillants que ceux de sa mère. Elle marche vers son père pour qu'il la prenne dans ses bras et quand bien même Christian est enfoui dans un profond mal-être les premières années, cette enfant lui permet d'envisager un futur sensé. Nombreuses sont les disputes et les désaccords entre Gladys et lui. Sans doute est-il dépassé par toute cette vie peu modeste. Sans doute quelque chose s'est passée en France quand il combattait corps et âme cet ennemi. Il fait des efforts, se persuade que tout est de sa faute, tout vient de lui. Il demande à Gladys d'être patiente, de ne pas l'abandonner. De toute façon, il voit bien qu'elle l'aime toujours. Alors les années passent, ils s'installent dans un appartement relativement riche de New-York et se concentrent sur l'éducation de leur fille qui grandit chaque année un peu plus. Christian s'émerveille de sa fille et souhaite en faire une fille moderne à l'image de sa mère, prête à défendre à haute voix ses droits. Plus les années passent, plus Christian redevient cet homme plein d'assurance, comme celui qu'il était avant. Il reprend plaisir à écouter de la bonne musique, à danser avec sa femme, à sortir avec des amis de famille. Pourtant, des démons continuent de le hanter. Le fantôme de son frère, mort au combat, ne cesse de venir occuper ses pensées. Mais il y a aussi ce bracelet bleu en cuir qu'il garde à son poignet presque par obsession. Gladys n'a jamais réussi à avoir la vérité à son propos. Lui mentant délibérément sur son origine, Christian cache ainsi ce délicieux secret d'une femme qui lui avait permis de survivre durant ces moments où il était au plus bas.
Dernière édition par Christian Walden le Sam 24 Aoû - 22:29, édité 11 fois |
| | | Sue V. Hitchcock MODO secretary charming girl. Missives : 712 Points : 52 Avatar : Phoebe Tonkin. Crédit : gentle heart + tumblr + silber sky. Statut : Célibataire.
| Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:32 | |
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| | | S. Maija Pavlov FONDA ⚡ you ain't seen nothing yet. Pseudo + Prénom : fleurpageons - Sarah Missives : 1711 Points : 179 Avatar : Jessica Stam. Crédit : morphine & giulia. Âge : 22 ans. Statut : célibataire, enfin il parait. Occupation : costumière & danseuse dans de petits cabarets le soir venu. Gramophone : your heart is as black as night - melody gardot. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:36 | |
| HENRY CAVILL AMOUR DE MA VIE (bon ok un des amours de ma vie). Bienvenue sur ATJ. Excellent choix d'avatar bien sûr et bon courage pour la réalisation de ta fiche. Si tu as besoin d'aide n'hésite pas ! |
| | | Evpraksiya-Honoria Kniaz FONDA moonage daydream. Pseudo + Prénom : ziggy stardust. / @girlcalledmercy / Clémence. Missives : 2339 Points : 321 Avatar : kaya scodelario. Crédit : mad shout. + tumblr. Âge : vingt-deux ans. Statut : fiancée contre son gré à l'élu de son cœur, Gabriel, selon un arrangement conçu entre leurs pères respectifs quinze ans plus tôt. Occupation : pianiste, violoniste, compositrice, rentière, apprend à gérer l'entreprise paternelle. Gramophone : quicksand - david bowie. Doubles-comptes : eponine m.-n. o'hare. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:37 | |
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| | | Abby Wilson AND ALL THAT JAZZ Pseudo + Prénom : Pondy* + Pauline Missives : 204 Points : 26 Avatar : AntoniaThomas Crédit : Applestorm Âge : vingt-quatre ans. Occupation : Bonne + Chanteuse dans un bar clandestin. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 18:41 | |
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| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:18 | |
| Quatre magnifiques femmes pour m'accueillir, que demande le peuple ? Merci beaucoup à vous toutes, ça me fait plaisir ! Maija, figure-toi que Henry est l'amour de ma vie aussi, donc tu as bon goût. Evpraksiya, wow quel prénom complexe ! Je peux t'appeler Evy ? Et... Charles Brandon, comment dire... Cet homme est divin, divin, divin. |
| | | Evpraksiya-Honoria Kniaz FONDA moonage daydream. Pseudo + Prénom : ziggy stardust. / @girlcalledmercy / Clémence. Missives : 2339 Points : 321 Avatar : kaya scodelario. Crédit : mad shout. + tumblr. Âge : vingt-deux ans. Statut : fiancée contre son gré à l'élu de son cœur, Gabriel, selon un arrangement conçu entre leurs pères respectifs quinze ans plus tôt. Occupation : pianiste, violoniste, compositrice, rentière, apprend à gérer l'entreprise paternelle. Gramophone : quicksand - david bowie. Doubles-comptes : eponine m.-n. o'hare. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:19 | |
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| | | S. Maija Pavlov FONDA ⚡ you ain't seen nothing yet. Pseudo + Prénom : fleurpageons - Sarah Missives : 1711 Points : 179 Avatar : Jessica Stam. Crédit : morphine & giulia. Âge : 22 ans. Statut : célibataire, enfin il parait. Occupation : costumière & danseuse dans de petits cabarets le soir venu. Gramophone : your heart is as black as night - melody gardot. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:23 | |
| Comment ne pas aimer ce cher Charles Brandon. Je te retourne donc le compliment. Et puis la fin déchirante des Tudors (pas de spoilers, mais voilà quoi ). Il faudra qu'on se trouve un super lien ! |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:29 | |
| Evy, je me demande où tu as été chercher ce prénom d'ailleurs ? Tout droit de ton imagination ou... ? Maija, je suis bien d'accord avec toi, la fin est déchirante mais aussi magnifique je trouve. Ils ont réalisé le dernier épisode d'une très belle façon. Évidemment, comme je suis émotive, j'avais la larmichette pour Charles, mais aussi pour Henry. :ouin:Enfin bref, les Tudors est ma série préférée. |
| | | Evpraksiya-Honoria Kniaz FONDA moonage daydream. Pseudo + Prénom : ziggy stardust. / @girlcalledmercy / Clémence. Missives : 2339 Points : 321 Avatar : kaya scodelario. Crédit : mad shout. + tumblr. Âge : vingt-deux ans. Statut : fiancée contre son gré à l'élu de son cœur, Gabriel, selon un arrangement conçu entre leurs pères respectifs quinze ans plus tôt. Occupation : pianiste, violoniste, compositrice, rentière, apprend à gérer l'entreprise paternelle. Gramophone : quicksand - david bowie. Doubles-comptes : eponine m.-n. o'hare. | | | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:35 | |
| Dans tous les cas, ce prénom va bien à Kaya. Elle est magnifique sur ton avatar ! Et je me tais. Héhé. |
| | | S. Maija Pavlov FONDA ⚡ you ain't seen nothing yet. Pseudo + Prénom : fleurpageons - Sarah Missives : 1711 Points : 179 Avatar : Jessica Stam. Crédit : morphine & giulia. Âge : 22 ans. Statut : célibataire, enfin il parait. Occupation : costumière & danseuse dans de petits cabarets le soir venu. Gramophone : your heart is as black as night - melody gardot. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:36 | |
| Personnellement c'est vraiment la réaction d'Henry envers Charles qui m'a achevé. :potté:Je ne dirais pas que les Tudors sont ma série préférée, mais j'ai adoré la regarder et il y a tellement d'acteurs talentueux. On a pas fait de spoilers, mais il faut vite que tu regardes la fin Clem ! |
| | | Evpraksiya-Honoria Kniaz FONDA moonage daydream. Pseudo + Prénom : ziggy stardust. / @girlcalledmercy / Clémence. Missives : 2339 Points : 321 Avatar : kaya scodelario. Crédit : mad shout. + tumblr. Âge : vingt-deux ans. Statut : fiancée contre son gré à l'élu de son cœur, Gabriel, selon un arrangement conçu entre leurs pères respectifs quinze ans plus tôt. Occupation : pianiste, violoniste, compositrice, rentière, apprend à gérer l'entreprise paternelle. Gramophone : quicksand - david bowie. Doubles-comptes : eponine m.-n. o'hare. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:37 | |
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| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:41 | |
| Charles était un homme complètement dévoué à Henry, au détriment de toutes ses autres valeurs. C'est bouleversant à voir. Ah oui en effet, il faut que tu continues à regarder. C'est impossible de se lasser, je trouve. Même s'il y a certains acteurs (actrices surtout) que j'aurais adoré voir plus encore, mais bon, c'est comme ça hein. (a) |
| | | S. Maija Pavlov FONDA ⚡ you ain't seen nothing yet. Pseudo + Prénom : fleurpageons - Sarah Missives : 1711 Points : 179 Avatar : Jessica Stam. Crédit : morphine & giulia. Âge : 22 ans. Statut : célibataire, enfin il parait. Occupation : costumière & danseuse dans de petits cabarets le soir venu. Gramophone : your heart is as black as night - melody gardot. | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:47 | |
| Les actrices disparaissent vite dans les Tudors. Oui on est des admins floodeuses, pas bien. |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 19:49 | |
| Tu peux le dire, à qui la faute hein (au roi pardi ) ! Vous êtes de terribles tentatrices, han la la, c'est votre faute héhé. |
| | | E. Gabriel Johnson ADMIN ♔ strange bird Pseudo + Prénom : loonywaltz - léa Missives : 992 Points : 192 Avatar : ben barnes Crédit : loonywaltz Âge : 25 yo Statut : fiancé depuis toujours à l'amour de sa vie par la force du hasard Occupation : propriétaire du palace theatre & du speakeasy please don't tell Gramophone : pompei - bastille | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 20:10 | |
| Désolée de vous interrompre, je souhaite la bienvenue au beau gosse et je repars. ... Voilà, c'est fait |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 20:16 | |
| Bienvenue =D Très bon choix d'avatar ! |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 20:17 | |
| Les beaux mâles arrivent. Merci à vous deux, vous êtes canons mais vous le savez déjà, hein. |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Dim 18 Aoû - 21:58 | |
| henry cavill ! :) bienvenue par ici !!!!! :) si tu as besoin surtout n'hésite pas à contacter le staff !! |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Lun 19 Aoû - 14:00 | |
| Merci Berenice (quel joli prénom). |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Lun 19 Aoû - 14:03 | |
| Oh, merci un journaliste né à Londres, en plus ! |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Lun 19 Aoû - 14:08 | |
| J'aime tellement l'accent british de Henry qu'il me semblait impossible de ne pas lui donner cette origine anglaise dans ce forum, à vrai dire. Un journaliste qui a combattu sur le front pendant la guerre en plus. Ton personnage m'a l'air super intéressant toi aussi, rien qu'en lisant son "occupation". |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war Lun 19 Aoû - 14:17 | |
| oh, et bien, que de compliments On va réfléchir à un lien alors (a) |
| | | | Sujet: Re: ∇ love after war | |
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