UN RÊVE DANS UN RÊVE
Reçois ce baiser sur le front!
Et, puisque que c'est l'heure de te quitter
Alors c'est bien haut que j'avoue
Tu n'as pas tort, toi qui juges
Que mes jours ont été un rêve;
Et si l'Espoir s'est enfui
Pendant la nuit ou pendant le jour
Dans une vision ou dans aucune,
Pour autant s'en est-il moins allé?
TOUT ce que nous voyons ou paraissons
N'est qu'un rêve dans un rêve.

Je me tiens au coeur rugissant
D'une grève que les brisants tourmentent,
Et je tiens dans la main
Des grains du sable d'or
Bien peu! et encore comme ils se défilent
A travers mes doigts vers l'abîme
Pendant que je pleure_pendant que je pleure!
O Dieu! Que ne les puis-je étreindre
D'une poigne plus ferme?
O Dieu! Que n'en puis-je sauver
UN de la houle sans pitié?
TOUT ce que nous voyons ou paraissons n'est-il
Qu'un rêve dans un rêve?-EDGAR ALLAN POE



Il ne veut pas avoir d'enfants, il déteste ça✪Il est aquaphobe (il a la phobie de l'eau)✪Il sourit tout le temps celui donne d'être heureux  tout moment✪Son rôle de dealer est de fourguer les médicaments à l'hôpital où il est interne ✪Il veut être medecin depuis tout petit parce qu'il a toujours eu un grand côté généreux ce qui le différencie de son père et de sa mère✪Il est très hypocrite✪Il est perfectionniste dans tout ce qu'il fait✪Il est moqueur✪Il est exigeant et n'aimera jamais les gens qui font les choses  moitié✪Il le cache  cause de cette envie de toujours séduire mais, au fond de lui, c'est un homme très romantique✪Il est déterminée à avoir ce qu'il désire✪Il aime séduire ✪Il est cachotier avec tout le monde et garde avec préciosité n'importe quels secrets✪On lui dit orgueilleux; lui ne se voit pas du tout comme ça✪Il est sûre de lui✪

PSEUDO ET/OU PRÉNOM : Mimie/Marie
ÂGE : 19 ans
DÉCOUVERTE DU FORUM ET AVIS SUR CELUI-CI : Bazzart
PRÉSENCE : Tous les jours après je peux rp deux fois par semaine si possible
CONNAISSANCE ET AVIS SUR LES 1920's : Je connais pas trop de choses sur cette époque mais, je vais m'y mettre
TA CHANSON FAVORITE : Ah la la!!!! C'est dur comme question. Bon The Scientist de Coldplay même si je n'aime pas spécialement ce groupe mais, cette chanson est magnifique. Sinon, je suis une grande femme de Lana Del Rey  
AVATAR : Max Irons  
CODE DU RÈGLEMENT : /you//can/even//marry//harry/
PERSONNAGE INVENTÉ, SCÉNARIO : Inventé
JE SOUHAITE PARTICIPER AU SYSTÈME DE RP D’INTÉGRATION : oui
UN DERNIER MOT : Aimez-moi!!!  

Naquit au sein d'une des familles la plus riche du New Jersey, Brown Julian Millian grandissait dans les meilleures conditions. Il avait une petite enfance très heureuse en compagnie de son père et de sa mère ainsi que de sa grande-soeur de cinq ans son aînée. Contrairement à son frère cadet, celle-ci ne voyait pas ses parents et la naissance de Brown d'un aspect merveilleux. Étant un garçon, Brown était considéré comme l'heureux héritier de la plus grande partie de la fortune familiale de l'un des meilleurs marchands d'art de la côte Est des États-Unis. C'était ce même Brown qu'on couvait de cadeaux et ce n'était seulement qu'à lui que son père pensait lorsqu'il travaillait et non pas sa grande fille qui eut envie de partir de chez elle dès l'âge de douze ans. Pendant des années et sans en parler à personne, Brown avait toujours le malheur de ressentir la haine à son encontre de la part de sa sœur lors de tous les moments où elle se sentait obligée de passer avec lui. Il ne pouvait pas comprendre cette situation ; il était bien trop jeune mais, elle, elle était bien plus grande que lui. Selon lui, tout le monde se devait l'aimer parce qu'il fût « le garçon le plus gentil et le plus mignon de la terre » d'après le dicton répété de la nourrice qui préférait, elle, aussi, prendre soin du petit ange. C'est avec vengeance que la sœur de Brown s'obligea à vouloir étudier l'art comme son père pour pratiquer le même métier que celui-ci pour qu'après son géniteur s'intéresse à elle. Son plan était fantastique et marchait comme elle le voulait en faisant évidemment le malheur de son frère qui ressentait, par la suite, les mêmes mauvais sentiments à l'égard de celle qu'il détestera toute sa vie. Brown avait honte aussi d'avoir un père qui choisissait ses enfants par intérêt. Pour lui, l'art n'était en aucun cas une passion. Il avait toujours cette même envie de devenir médecin ! Il travaillait bien les matières scientifiques pour qu'un jour, il entre à l'université de Columbia qui se trouvait dans la grande ville de New York, ville de ses rêves, car il entendait mille et une merveille à propos de cet endroit magique qui changeaient constamment. Ses désirs n'étaient autres que d'aller explorer Central Park pour admirer les vestiges de la nature, reluquer les jeunes new-yorkaises de la haute-société et entendre ses nouveaux accents étrangers qui venaient d'ailleurs. Il voulait surtout se trouver loin de son père et surtout de cette sœur qui lui avait volé ce même père en quelque sorte. Sachant que sa sœur désirait s'assurer un bel avenir dans la même université que Brown.

À New-York, un seul Millian devait vivre. Et pour le bonheur de Brown, c'était lui le Millian qui devait régner à New-York.

C'était avec ses rêves que Brown, âgée de dix-huit ans à l'époque, débarquât à New York avec sans cesse cette même volonté de réussir sa vie comme il entendait. Il allait devenir médecin. Un médecin renommé, diplômait d'une des sept prestigieuses universités de l'Ivy League. Mais, ce n'était rien qu'un fait parmi tant d'autres qui ne faisaient pas le poids face à ce qu'il comptait et allait certainement vivre dans cette nouvelle ville qui lui ouvrait ses portes. Puisque New-York, c'est toujours le même New York, dans son imaginaire, dans son présent et dans son avenir auquel il se préparait à vivre même s'il lui paraissait un peu lointain ! C'était la ville où les gratte-ciels grandissaient petit à petit. Peu à peu, ils allaient bientôt engloutir Brown et les autres habitants de la ville. Il y avait après Central Park ! Ce Central Park que vénérait Brown sans en avoir jamais mis les pieds. Il aima. Cependant, d'une manière autre à laquelle il s'était imaginé plus jeune. Il y avait bien en Central Park un côté joli et féerique. C'était vert et ce vert rendait l'eau des lacs un peu plus accueillants. Il avait une phobie maladive de l'eau depuis qu'il était enfant et l'eau de Central Park était bien plus accueillante parce qu'elle appartenait à la ville de ses rêves. Mais ce n'était pas l'eau qui ne redonnait pas à Central Park le côté magique imaginait par Brown auparavant. Le grand jardin ne lui donnait pas cette envie de le revoir chaque jour et chaque nuit de sa vie d'étudiant. L'herbe si verte n'était pas assez extraordinaire. Elle n'était pas exceptionnelle comme le corps si gracieux qui se donnait l'autorisation de se dandinait devant lui. Les arbres étaient bien plus grands que lui. Ils étaient tout de même moins impressionnants que le goût fort, mais, succulent d'un verre d'alcool défendu. Le chant des oiseaux n'avait rien de sensationnel comparé à la voix d'une chanteuse noire.Les ponts si proches de cette eau qui lui rendait malade étaient romantiques si on les regardait de bien loin. Pourtant, le romantisme ne lui faisait pas le même effet fantastique que lui donnait cette fantaisie d'être un fourbe durant une longue nuit. C'était bien dans les cabarets que Brown et non dans un jardin, qu'il préférait se reposer après ses cours jusqu'à même se désintéresser quelquefois de son rêve d'être généreux en favorisant l'idée que lui aussi, on pouvait lui redonner la vie d'une certaine façon. Ils aimaient dans ces endroits-là ces femmes qui étaient plus fabuleuses que celles bourgeoises se baladant élégamment à New York. « La richesse ne fait pas tout », se disait Brown. Il avait raison ; il n'avait pas le pouvoir de jouir de la vie d'une autre manière que de sortir la nuit. C'est sur cette phrase que commença un réel intérêt pour le monde de nuit..et des embêtements pour toutes sortes de raisons