Betty. Vous, vous doutez bien que ce n'est pas mon vrai prénom, ni même un de mais prénom de naissance. Non, j'ai juste réussit à gruger en refaisant mes papiers il y a peu. Pourquoi? Et bien parce que s'appeler Oksana (et encore, c'est soft), quand on vit en Amérique, c'est se catégoriser "étrangère". Et je suis tout sauf une étrangère. Ce n'est pas parce que mon sang est slave que je ne suis pas une pure Newyorkaise. J'ai la chance d'être blanche et canon. Alors quoi? Et bien je compte bien conquérir l'Amérique! Ou du moins le petit bout d'Amérique dans lequel je vis. Faire ce que j'ai envie, quoi! Et aussi dire un peu ce que j'ai envie grâce à mon métier de chroniqueuse. Casser les codes? Non! Je ne suis pas une révolutionnaire, mais avec moi, darling, tu marches au pas que j'impose. Tu veux pas? T'en pis, barres-toi. Je n'ai pas besoin de toi. A ton avis, pourquoi suis-je devenue embaumeuse? Les morts la bouclent, eux. Je leur cause, leur chante des chansons, et les pouponnes (bah oui c'est mon métiers), et si je me rate, y a personne pour râler. Je les aiment bien mes petits morts.


J'ai la fâcheuse habitude de rire toute seule à des blagues que je me fais à moi même _ J'ai souvent cassé la figure aux gars qui embêtaient mes petits frères _ Quand je ne fais rien, je ne fais vraiment RIEN, sinon, je suis toujours active _ J'ai des piques d'activité le soir avant d'aller au lit _ Je ne supporte pas les gens qui mettent du temps à comprendre _ Quand je sais pas quoi faire, je me retrouve devant le frigo ou sur les toilettes _ Je me gratte le nez ou la joue quand je suis gênée _ J'ai la voix assez grave, mais quand je suis excitée ou stressée, je monte dans les aigus _ Je ne mesure pas ma force _ Je ne fais aucune concession des mes relations amicales sinon je finis par péter les plombs et ça finis mal _ Je pense beaucoup à voix haute _ Je dispute souvent les gens _ J'ai un casier judiciaire _ J'ai la phobie des pales, donc ventilateurs et trucs du genre _ J'ai le sursaut facile _ J'ai la mauvaise habitude de donner à manger aux enfants et aux animaux que je croise _ Je suis allergique à la carotte _ J'ai un chaton tout blanc tout poilus.

Qualités : pragmatique _ méticuleuse _ vive d'esprit _ gentille _ maîtresse de soit _ énergique _ curieuse _ téméraire _ maligne _ charmeuse _ ouverte _ indépendante _ philosophe _ cultivée _ protectrice.

Défauts : détachée _ sarcastique _ sanguine _ bourrin _ langue de vipère _ débauchée _ volatile _ trop curieuse _ impatiente _ capricieuse _ opportuniste _ égoïste _ mélancolique chronique _ autoritaire.

PSEUDO ET/OU PRÉNOM : Charlie (McKagan).
ÂGE : 20 ans.
DÉCOUVERTE DU FORUM ET AVIS SUR CELUI-CI : Sur facebook, grâce à miss Léa Pfeiffer, mais je ne sais pas qui c'est sur ce fow'. ^^ Je le trouve superbe, et j'ai beaucoup apprécié les descriptions (mode, médias...) sur l'époque, ça aide beaucoup.
PRÉSENCE : On va essayer 6/7.
CONNAISSANCE ET AVIS SUR LES 1920's : Franchement, ça se limite à la prohibition et à Gatsby (le film, pas le livre xD). Aviiis... je n'ai pas vraiment d'avis encore. Juste la situation de la femme qui m'a révolté! xD Non, sinon j'aime bien l'ambiance... vieux film. ^^
TA CHANSON FAVORITE : Ouhla! Opheliac, peut-être, d'Emilie Autumn.
AVATAR : Ana Perduv (vrai nom angie Von Kruger)
CODE DU RÈGLEMENT : ok par Maija.
PERSONNAGE INVENTÉ, SCÉNARIO : Inventé!
JE SOUHAITE PARTICIPER AU SYSTÈME DE RP D’INTÉGRATION : Ouiiii!!! ça peut être bien!
UN DERNIER MOT : Jamais. xD

Petite, je me demandais pourquoi j'étais née. Pourquoi j'étais moi, et pourquoi on ne m'avait pas demandé mon avis avant. Non mais c'est vrai. Je voyais le monde s'étaler devant moi, toute une vie à bâtir, et... et bah pas le choix. Sinon avoir une vie de merde, ou retourner au néant. Mais non, hein! Ne flippez pas, je n'ai absolument pas eu une enfance difficile. Mes parents ayant fuient l'Europe entre deux guerres (celle de 1870, et la dernière en date). Ils avaient sentit le coup venir. Donc oui, non, j'ai grandit New-York, avec la "belle" (toujours mieux que ce que j'aurais eu sinon) vie et tout, et tout, mais j'étais déjà un peu psychosée étant petite. Si mes parents ont un lien avec Nostradamus pour avoir éviter la première Guerre Mondiale, je dois en avoir un avec Kant, Socrate, ou je ne sais lequel de ces braves remueurs de méninges. Faut pas croire, hein, c'est pas hyper drôle d'être philosophe. C'est hyper déprimant. Mais depuis que je limite ça à sous la douche et sur les toilettes, je vis mieux. C'est pas pour rien que je m'active tout le temps. Sinon je vais déprimer sec.

Brefouille, après une enfance tout à fait correcte avec les hauts et les bas habituels, je suis devenue l'adolescente la plus casse-couille au monde. Ou presque. Mais... vu que j'avais raison la plupart du temps... bah c'était compliqué pour toute personne de bonne foi de m'en vouloir longtemps. Oui, parce que j'ai un grand principe dans ma vie qui est de l'ouvrir que quand je suis sûre d'avoir raison. Donc quand je me disputais avec mes parents, ou que je crisais contre mes professeurs, il y avait toujours une très bonne raison. Bon, pas toujours, toujours, non plus, il y avait aussi les jours ou j'étais trop fatiguée et énervée pour réfléchir bien longtemps, mais bon. Ce cas est tout de même en minorité. Pareil, je faisais un nombre impressionnant de bêtises, mais comme mon autre grand principe l'exige : ces bêtises ne concernait que ma petite personne. Je n'embête pas les autres, parce que je ne voudrais pas que les autres m'embêtent. Et quand je leur fais quand même quelque chose et bien... "Soit prêt à recevoir ce que tu donnes, bon ou mauvais." C'est d'ailleurs pour ça que je ne me battais que avec des plus jeunes que moi. Bah oui, hein, déjà qu'actuellement, la plupart de ceux que j'ai frappé me dépasse en taille.... fallait que je profite tant que j'avais l'avantage. Oui, je suis une grande opportuniste. Quand je suis allée refaire mes papiers il y a peu, le type m'a demandé "pas de deuxième prénom?", (je sais pas ça devait être la mode) et j'ai tout de suite répondu le surnom que tous mes amis me donnait: Betty.

Oui, l'adolescence, fut une grande période pour moi. Mes premières cuites (la quoi? la prohibition vous dîtes? connais pas.), mes premiers amours, mes premières sorties, et tout ce qu'un ado un peu libre fait normalement quoi. Mais surtout, il fallait que je me trouve un avenir!! Personnellement, j'aurais bien aimé être danseuse de cabaret. Et puis un jour, en regardant ma mère, j'ai eu une révélation. Quand tu arrives à ne serait-ce qu'à 30 ans... T'es obligé de changer de job! Et tu fais quoi après, sans formation? Et puis, non. C'était pas la meilleure idée du monde. Après, un panel impressionnant de métiers s'offrait à moi, mais à chaque fois, il fallait que je fréquente... des gens. Et que je dois faire quelque chose de sérieux, j'ai horreur d'avoir une bande d'imbéciles incapables dans les pattes. Pas que tout le monde soit comme ça, mais suffisamment de monde l'était pour me gâcher mon job. J'avais déjà du mal à supporter des amis. Alors des clients ou je ne sais quoi... Gouark! Et puis c'est mon père qui m'a donné la solution, même si c'était plus une blague de sa part qu'une proposition. "Oooh... mais t'as qu'à travailler avec des morts, tiens! Sont pas chiant eux!" Et bien c'est ce que je fis, au grand désespoir de ma mère, et à la grande incrédulité de mon père. Ainsi, je pus quitter le domicile familial et mener la grande vie. Parce que mine de rien, ça gagne bien embaumeur. Peut-être parce que personne ne veut l'être. Personnellement, j'adore mon job.

Surtout qu'il m'a ouvert d'autres portes! C'est bizarre à dire mais les morts, ça créés des relations! Quand leurs proches se sentent un minimum concernés et viennent me voir pour savoir comment se passe les choses avant que je m'occupe de leur défunt ami. Moi, j'étais une fashion victim, et même mieux que ça, puisqu'au final, je la précédais. Personnellement ça fait déjà quelques temps que j'ai laissé tomber le chapeau cloche. Bref, il s'avère que l'une de mes... non pas cliente, puisqu'elle est belle et bien en vie, mais disons une proche d'un de mes clients, s'avérait être directrice d'un magazine de mode. Et qu'elle a juste adoré mon look. Puis ma langue bien pendue quand nous avons prit un café ensemble. Du coup, j'ai maintenant droit à une page dans son magazine, où soit je parle de mode, soit je parle de société. Le plus souvent les deux en même temps. "Fashion & the city", qu'elle s'appelle ma rubrique. Et puis par la même occasion, vu que je suis loin d'être moche, je pose aussi. Des fois pour d'autres magazines. Brefouille, je fais mon petit bout de chemin dans New-York, bien tranquillement. Je ne suis pas d'une ambition débordante. Pour l'instant ça me va très bien. Après,... on verra!