Ce que je retiens de mon enfance,  ce n’est certainement pas le temps passé avec mes parents. Au contraire, ces derniers étaient toujours partis travailler, me laissant seule à la maison, avec diverses nounous. Enfant, je me demandais pourquoi certaines d’entre elles quittaient après seulement quelques semaines. J’eus ma réponse vers l’âge de dix ans. Même si mes parents étaient rarement à mes côtés, ces derniers laissaient partir chaque nounou, qui se rapprochait trop de moi, comme s’ils allaient me perdre pour toujours. Malheureusement pour eux, ils m’ont tout de même perdue pour toujours, quelques jours après mon dix-septième anniversaire.


Vous allez comprendre en lisant la section ci-dessus que je suis une personne plutôt débrouillarde. Je suis aussi une personne qui n’a besoin de personne pour avancer dans la vie. Je suis une personne assez simple et calme. Comme la majorité des jeunes femmes de mon âge, j’aime mieux sortir un peu, mais étant médecin, ce n’est pas toujours facile de faire n’importe quoi, n’importe quand, surtout en tant que femme docteure. Je suis très maternelle envers mes patients et certaines personnes de mon entourage. Je dois cette partie de ma personnalité, aux nombreuses femmes qui ont su prendre soin de moi, enfant. Malgré tous ces positifs, je suis loin d’être une jeune femme parfaite. Au contraire, je suis têtue et lorsque j’ai une idée en tête, c’est difficile pour moi de lâcher prise. En terminant, je suis une personne sensible et empathique.

Dans la vie de tous les jours, j’aime bien écouter de la musique et me rendre au théâtre. J’aime bien passer du temps avec mon entourage, et surtout pratiquer mon métier. Ce n’est pas facile d’être un docteur, de nos jours. Un médecin femme, surtout. L’égalité entre les hommes et les femmes est loin d’être près de l’un et l’autre. Heureusement pour moi, j’essaie de pratiquer mon métier du mieux que je peux, sans montrer la moindre faiblesse. Je déteste mes parents, si je peux dire qu’ils sont des parents. Je n’aime aucunement les insectes, surtout les araignées

PSEUDO ET/OU PRÉNOM : CatheeeD ○ Catherine
ÂGE : 21 ans
DÉCOUVERTE DU FORUM ET AVIS SUR CELUI-CI : Découvert sur Facebook, et j'adore le concept. Je trouve qu'il est très originale.
PRÉSENCE : 5 jours sur 7.
CONNAISSANCE ET AVIS SUR LES 1920's : Bonne, mais quelque peu rouillée.
TA CHANSON FAVORITE : The Show Must Go On ○ Queen
AVATAR : Bryce Dallas Howard
CODE DU RÈGLEMENT : Okay par Peter !
PERSONNAGE INVENTÉ, SCÉNARIO : Personnage inventé
JE SOUHAITE PARTICIPER AU SYSTÈME DE RP D’INTÉGRATION : Non !
UN DERNIER MOT : AWESOMEEE

C’est par une journée d’hiver de l’année 1882 que monsieur et madame McIntyre accueillirent une petite fille. Une petite fille, qu’ils allaient laisser aux mains d’inconnus pour les dix-sept prochaines années. Cette enfant, et bien, c’est moi. Annabelle Felicity McIntyre. Laissez-moi, vous racontez mon histoire. À première vue, les gens pensaient que j’étais une petite fille gâtée pourrie, car mon père était un grand avocat très réputé à New York, tandis que ma mère était une très grande artiste. Malheureusement pour eux, la vie de parents ne leur allait pas, mais pas du tout. Je grandis entourée de femmes de couleur, et parfois, il m’arrivait de ne pas voir ni maman, ni papa, pendant plusieurs jours. Où se trouvaient-ils? Je n’en avais aucune idée. Même s’ils se fichaient de moi, mes parents se débarrassaient rapidement de mes nounous. Elles ne restaient que très peu avec nous. Ils croyaient qu’il était mieux pour moi, de ne pas trop m’attacher à eux, de peur de me perdre. Étant plus jeune, je ne comprenais pas pourquoi je perdais celles que je considérais presque comme des mères. En vieillissant, je compris très rapidement le petit jeu de mes parents. Je n’arrivais pas à croire qu’ils avaient osé me faire subir de telles choses. C’est à l’adolescence que je commençai à me détacher de tous les gens qui m’entouraient, que ce soit mes parents, mes amis, les nombreuses nounous qui passaient dans ma vie depuis ma naissance. C’était ma façon à moi, de me rebeller contre la vie. À l’époque, je ne savais pas ce que je voulais faire dans la vie. Mon intérêt pour la science et la médecine s’est développé alors que j’avais 15 ou 16 ans. Il n’y avait que très peu de docteurs dans les entourages, mais malgré mon statut de pré-adulte, je savais ce que je voulais faire comme travail. Un an plus tard, je quittai le domicile familial. Mes parents avaient tout fait pour me garder près d’eux, mais ce qu’ils ne savaient pas, en agissant de la sorte, ils m’avaient repoussée. Après mon déménagement, je me suis inscrite à l’Université. Je peux vous dire que j’étais l’une des rares jeunes femmes à y être. Au bout de quelques années, j’ai reçu un diplôme de médecine. Me voilà enfin docteure. Ce n’est pas très facile de nos jours, une femme médecin. Je dois prouver à ma clientèle et à leur famille qu’ils peuvent me faire confiance et que je suis très compétente dans ce que je fais…