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 PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain

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Peter L. Blackson
Peter L. Blackson
I only got money and I like it
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Missives : 869 Points : 268
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Âge : 23
Statut : Célibataire et bien trop occupé pour y penser
Occupation : Travaille au PDT en tant que serveur, et est Bootlegger deux semaines par mois (il fabrique son alcool là où il habitait avant dans le Vermont) et s'amuse à arnaquer les gens dans la rues avec des tours d'illusions.
Gramophone : BΔSTILLE - Daniel in the den
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MessageSujet: PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain   PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain EmptyLun 23 Sep - 23:49

Bessie & Peter
L'humour, l'humour, c'est inné... pour certain.


Bienvenue dans le merveilleux sujet de Peter L. Blackson qui va avoir l'honneur d'avoir comme partenaire Bessie-Hope H. McFaden. Pour leur sujet, ils interdisent l'intervention d'un PNJ inoffensif qui pimenterait le rp et ils interdisent l'intervention de membres extérieurs qui passeraient par là. Ne sont-ce pas là des choix merveilleux ? L’histoire se déroule le 18 juillet 1924 à 22h45 alors que la météo est pluvieuse. À présent, il est temps de laisser la parole au créateur du sujet : En cette belle nuit d'été, Bessie alla faire un tour dans un de ces bars clandestins : le PDT. S'asseyant au bar, elle ne remarquait pas le regard curieux d'un des barmans. Un anglais nommé Peter. Il était si étonné par le visage froid de la jeune femme qu'il ne put s'empêcher d'aller à son encontre... .


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Peter L. Blackson
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MessageSujet: Re: PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain   PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain EmptyMer 25 Sep - 23:13

Pessie
Acte I - The beginning

« I'm hot, you're cold. You go around like you know who I am, but you don't. »




Une à une, les gouttes d'eau venaient caresser la nuque dénudée de l'anglais avant de courir sur sa colonne vertébrale. A peine avait-il posé un pied en dehors de chez lui que la pluie avait commencé à tomber. Le soupire qu'il laissa échapper de sa bouche en disait long. Fatigue, flemme, tout ce qu'il voulait c'était dormir. Enfilant son grand manteau noir afin de se couvrir, Peter marchait d'un pas accéléré en direction de son lieu de travail : le Please Don't Tell. Tout New-York était dans une agitation inhabituelle dont l'averse ne semblait pas être la cause principale. Les femmes avaient sorti leur parapluie, protégeant avec elles leurs enfants qui semblaient tout aussi pressés de rentrer qu'elles. Certains chouinaient, d'autres brayaient. Leurs voix résonnaient à l'intérieur de la tête du serveur, lui provoquant un mal de tête affreux. Jamais il n'aurait dû servir, il le savait. Quand soudain, une autre voix l’interpella. Il s'agissait d'une voix féminine, agitée, sortant du poste de radio d'un vieil homme assis sur un banc, à l'abris. « La police est à la recherche d'un stock d'alcool appartenant au gang des Westies... votre ville a besoin de vous, ouvrez l’œil et que Dieu bénisse l'Amérique. » finit-elle avant que  The Man I Love de George et Ira Gershwin résonne dans la rue. Sans attendre, Peter reprit sa route, réfléchissant à ce qu'il venait d'entendre. Bootlegger, il n'avait jamais côtoyé ce gang ou du moins, pas dans ses souvenirs. Mais ce qui retenu le plus son attention fut l'idée qu'un stock d'alcool était caché dans New-York. S'il venait à le découvrir, il savait d'ores et déjà ce qu'il allait en faire... le vendre tout simplement. Il savait que la police New-Yorkaise était plutôt radine, c'était à peine si elle savait être reconnaissante. Il y avait cet inspecteur Smith dont il avait déjà entendu parlé avant. Une personne que Peter n'avait même pas envie de rencontrer. Et puis, les voilà qui parlaient encore de Dieu. Dieu Dieu Dieu. In God we trust était écrit sur leurs billets, « Now I lay me down to sleep, I pray the lord my soul to keep, if I should die before I wake, I pray the lord my soul to take. » étaient des paroles provenant de n'importe quel bon croyant avant de se coucher. Et ça avait le don de rendre Peter fou. C'était à peine s'il ne respectait même pas ce dit Seigneur. Et il avait ses raisons, raisons qui remontaient à son enfance, ou plus particulièrement au soir de l'armistice. Well, fuck you dear Holy Spirit.

L'entrée au Please Don't Tell était un jeu d'enfant pour le beau brun à présent. Il pouvait le faire les yeux bandés après avoir tourné sur lui même une dizaine de fois. C'était toujours la même chose. Il arrivait, observé les clients présents et constatait que beaucoup étaient des habitués. Il y avait plusieurs type de personne. Des vieux pervers voulant admirer de la chair fraîche, tel un bon steak se dandinant sous leurs nez ; des jeunes hommes venant boire et fumer ensemble tout en observant de jolies femmes ; et aussi des amis du propriétaire.
Peter se mit en tenue et se positionna derrière le bar, attendant sagement des clients tout en lavant des verres. En plissant les yeux, il observa à nouveau la clientèle et plus spécialement celle qui était accoudée au bar. Il adorait son métier. Non pas qu'être serveur avait été un rêve pour lui, mais il s'était rendu compte à quel point ce poste était intéressant. Vous savez, c'était comme faire parti du secret de nombreuses personnes qui dépassaient les limites de l'interdit, de la prohibition. Aujourd'hui, s'asseoir à un bar un verre d'eau de vie à la main n'était pas anodin. Cette fameuse coupe d'alcool pouvait vous coûter chère, voire très chère. Et cette petite cachotterie était des plus excitantes aux yeux de l'anglais.

Puis, il vit les regards des hommes accoudés au bar avec qui il discutait se dirigeaient vers l'entrée. Sans réfléchir, Peter suivit le mouvement et put apercevoir une jeune femme brune faire son apparition. Il était rare de voir des êtres de la gente féminine entre ces quatre murs, étant un endroit plus apte à accueillir des hommes. C'est vrai après tout, la place de la femme était à la maison si on en croyait les speechs de certain. Et bien que Peter n'était pas de cet avis, il fut tout de même surpris par cette nouvelle cliente. Peut-être était-elle déjà venue ici. Ou peut-être pas. Il s'en fichait en vérité. Mais de nature curieux, il la surveillait du coin de l'oeil discrètement. Son style vestimentaire faisait comprendre qu'elle avait un coffre bien rempli. Le serveur n'aimait pas la mode ou du moins, n'y voyait pas d’intérêt, mais il aurait pu juré que le tissu de sa robe coûtait un bras. Mais ce qui n'avait pas de prix, c'était son visage. Fin, agrémenté d'un regard noisette et de lèvres parfaitement dessinées.
Elle s’essaya rapidement sur un des tabourets du bar et attendit qu'on vienne lui proposer à boire. C'est à ce moment qu'il put la voir de plus près et qu'il remarqua ce qui gâchait ce si beau tableau. Elle était froide. Elle semblait être le stéréotype parfait de la femme inaccessible que beaucoup s'arrachait. Mais cela n'était que des suppositions, des jugements sans aucunes profondeurs.
Il se décida alors à venir la voir. Ne voulant pas trop s'approcher, il ne se pencha pas vers le bar et resta en retrait à laver ses verres. « Désirez-vous quelque chose gente dame ? Je peux vous proposer un Champagne Punch, un Bacardi Cocktail, ou encore un French 75 ? A moins que vous ne désiriez pas prendre d'alcool. » dit-il avec un sourire, se voulant agréable aux yeux de la clientèle.


Dernière édition par Peter L. Blackson le Sam 28 Sep - 13:13, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain   PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain EmptyJeu 26 Sep - 0:22


BESSIE-HOPE & PETER.

Tomorrow is another day and you won’t have to hide away. You’ll be a man, boy! But for now it’s time to run, it’s time to run! Tomorrow is another day and when the night fades away, you’ll be a man, boy! But for now it’s time to run, it’s time to run!

« Tu sors? » Pourquoi les gens se donnaient la peine de poser ce genre de question? C'est comme entrer dans la chambre d'une personne à trois heures du matin et lui demander , la bouche en cœur, « tu dors? » jusqu'à ce qu'il réponde évidemment, sinon, c'est pas drôle. Pire encore, on laisse souvent échapper un petit « Ha désolé, je t'ai réveillé » une fois qu'il nous as répondu. Si ça c'est pas du sadisme, je ne m'y connais pas. Là à cet instant, c'était la même chose. Bessie-Hope était sur son trente-et-un, son manteau en main et elle se dirigeait vers l'entrée, alors d'après cette chère Tante Nessie, que comptait-elle faire exactement à part sortir? Juste ouvrir la porte, regarder à l'extérieur et la refermer comme si de rien n'était, histoire de prendre l'air? Faut-il être stupide à ce point pour poser ce genre de question complètement futile et sans intérêt ? Bessie n'a jamais été du genre à s'emporter facilement, mais la stupidité avait le don de l'agacer plus que tout, son mari en avait fait les frais, et c'était surement l'une des seules choses qui pouvait vraiment la faire imploser. D'ailleurs, elle manqua de dire ses quatre vérités à sa chère tatie, puis fut vite stoppée par sa grand-mère, cette dernière lui faisant signe de simplement s'en aller. Haa, si la brunette n'était pas si désireuse de finir à une bonne place sur son testament... Malheureusement, elle le désirait. Elle se contenta donc d'enfiler son manteau jaune crème -oui elle aime le jaune- ainsi que son parapluie avant de claquer la porte sans un mot de plus. Si ainsi elle ne comprenait pas qu'effectivement elle sortait, son cas était définitivement irrécupérable.

L'air frais vint frapper les joues de la jeune femme et rapidement, comme elle s'en doutait, il se mit à légèrement pleuvoir. C'est fou comme la panique s'empare des gens lorsque la météo change subitement, comme si quelques gouttes d'eau pouvaient tuer un homme. C'est la pensée qu'eut Bessie en ouvrant son parapluie. Oui je sais, c'est l'hôpital qui se fou de la charité, mais voyez-vous sa robe est neuve, hors de question donc de l'abimé avant que qui que ce soit ait pu l'admirer, au retour sans doute ne prendrait-elle pas la peine de s'abriter, mais pour l'instant, elle allait devoir jouer les jeunes demoiselles farouches. D'ailleurs, en parlant de farouche demoiselle, la belle n'était pas vraiment sûre de savoir où elle désirait aller... Se balader dans des ruelles sombres ne lui semblait pas vraiment la meilleure idée du siècle... Aller au théâtre pour critiquer les costumes faits par d'autres costumières qu'elle? Déjà fait la veille. Et pourquoi pas aller boire un verre dans un de ses bars clandestins si populaires? Ou plutôt dans l'un des rares qu'elle connaissait. Elle n'y allait en général pas souvent, de temps à autre, pour boire seule dans son coin, histoire d'observer les gens et d'essayer... de les comprendre. C'était passionnant d'écouter les conversations des autres, surtout pour une petite curieuse comme Bessie-Hope. L'alcool en plus était une espèce de petit bonus.

C'était donc décidé. Rapidement elle se retrouva devant les portes du bar clandestin, y ayant déjà fait quelques apparitions on la laissa rentrer sans problème, elle retira son manteau, préférant le garder en main -pas question qu'on le lui pique- , puis elle entra dans l'antre de l'interdit. Étrangement, il n'y avait pas beaucoup de femmes ce soir, comme la majorité des autres soirs en fait, tant mieux, elle ne s'entendait que peu avec la gente féminine... tout comme avec la gente masculine... Cela dit, elle a un très bon rapport avec les animaux, c'est déjà bien non? Enfin, ni une ni deux elle prit place au bar, posant sa veste sur un tabouret à ses côtés et immédiatement elle fut interpelée par le barman. « Désirez-vous quelque chose gente dame ? Je peux vous proposer un Champagne Punch, un Bacardi Cocktail, ou encore un French 75 ? À moins que vous ne désiriez pas prendre d'alcool. » Non Bessie garde tes sarcasmes pour toi. Oui, soyons honnêtes, ce barman venait quand même de lui poser la plus stupide des questions, ça avait pourtant bien commencé, puis il s'était perdu vers la fin, sous-entendant clairement qu'elle venait peut-être dans un bar clandestin pour boire du jus de pomme. La belle décida de ne rien dire, restant impassible, stoïque, froide. « Champagne... Punch. Bacardi Cocktail et French 75. Les trois s'il vous plait. En petite quantité et dans les mêmes types de verres. Merci. » Elle voulait les trois. Et oui, elle était exigeante. C'était une habitude de gouter plusieurs types d'alcool, histoire de se faire sa propre opinion.


love.disaster
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MessageSujet: Re: PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain   PESSIE - L'humour, l'humour c'est inné... pour certain EmptySam 28 Sep - 13:08

Pessie
Acte I - The beginning

« I'm hot, you're cold. You go around like you know who I am, but you don't. »




Oui, Peter aimait beaucoup son métier, mais dans un sens, il ne lui correspondait pas. Loin de là. L'anglais avait toujours eu une personnalité forte, de manière à ce que c'était lui le capitaine de tous les navires. C'était lui qui dirigeait et personne d'autre. Ce n'était pas aux autres de lui dire quoi faire, il était maître de ses moindres faits et gestes. C'était comme Charlie. Cet avocat qui ne cessait de le coller dès qu'ils se croisaient, lui rétorquant qu'il devait arrêter ses magouilles. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire si Peter arnaquait des gens en pleine rue ? Aux dernières nouvelles, ce n'était pas ses affaires. Et autant le dire : le serveur détestait qu'on s'occupe de ce qui ne nous regardait pas, d'autant plus quand ça le touchait. S'il voulait prendre de l'argent aux passants avec des petits tours d'illusions, il le faisait. S'il voulait continuer de vendre de l'alcool, il le faisait. Cependant, il avait parfaitement conscience que ses actes pouvaient lui coûter cher s'il se faisait attraper. Et là il serait bien content de trouver le Allen... mais ça, il était bien trop fier pour se l'avouer. Il marchait comme ça depuis deux ans et ce n'était pas demain qu'il allait perturber ses habitudes.
Son métier en tant que serveur donc, s'opposé à ce côté de sa personnalité. Il recevait des ordres tout le long de la soirée. Que ce soit de son patron, pour qui il avait un grand respect et à qui il le devait, ou que ce soit par ses clients. Il était délicat de dire à la clientèle de se servir elle-même, qu'on était pas son larbin. Plus spécialement quand il s'agit de clients fortunés. Plus ils prenaient de verres, plus le salaire de Peter était assuré. Alors, pour l'argent, l'anglais acceptait de n'être qu'un matelot. Mais ce soir, il n'était pas d'humeur à recevoir des ordres et encore moins d'une poupée friquée. « Champagne... Punch. Bacardi Cocktail et French 75. Les trois s'il vous plait. En petite quantité et dans les mêmes types de verres. Merci. » lui avait-elle répondu, stoïque, pouvant donner la chair de poule à n'importe quel homme. Mais Peter s'en fichait pas mal de son air froid et de ses vêtements haute couture, tout ce qu'il voulait était son argent. Il attendit d'être dos à elle pour lever les yeux au ciel, déjà désespéré par son cas alors qu'elle ne lui avait adressé qu'une phrase. Préparant ce que la demoiselle désirait, les cocktails se firent presque à l'aveugle tant il avait l'habitude de les faire depuis le temps. Il fit plus attention au choix des verres, ayant bien retenu la demande de la jeune femme. Une petite minute était passée et il revint vers elle, les verres en mains. Il les posa devant elle et annonça, avec un sourire sarcastique « Les boissons de la demoiselle sont prêts. Et bien sûr, nous avons bien faits attention aux verres, nous vous avons mis nos meilleurs ! Ça vous fera trois dollars dix s'il vous plait. » . Une fois qu'elle l'eut payer, Peter partit de l'autre côté du bar afin de prendre d'autre client.

Cela faisait déjà cinq bonnes minutes qu'il avait quitté la belle brune et elle était toujours entrain de siroter ses cocktails en observant les alentours. A un moment, il crut percevoir un regard non plus froid mais impressionné alors qu'elle admirait les danseuses. Il eut presque l'impression d'avoir une enfant à son bar. Une gosse qui découvrait un autre monde. Il était vrai que ça devait la changer de ses fréquentations habituelles mais les bars clandestins étaient très connus à New-York, et elle ne semblait pas totalement étrangère à ceci. En un simple regard, elle raviva sa curiosité, lui faisant presque oublié leur précédent échange où tout ce qu'il avait désiré était de lui balancer les contenus des trois verres au visage pour la rendre encore plus froide qu'elle ne l'était déjà. Doucement, il s'approcha à nouveau d'elle sans qu'elle ne le remarque et eut un petit sourire avant de dire, ironique « Qu'est-ce qu'une riche demoiselle fait ici ? Dans un bar où des hommes pervers se régale en observant des danseuses à moitié nues. »
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